Ils sont verts, ils sont contents/pas contents, ils viennent des années 80 et l’espace urbain est leur terrain de jeu. Ce sont les éco-envahisseurs.
Yves Caizergues, leur créateur, conçoit des éclairages issus d’une réflexion sur la perception des émotions par le spectateur. Il intervient aussi bien dans le spectacle vivant que l’évènementiel et est en constante recherche aussi bien au niveau technologique que sensitif.
Grand fan de jeux vidéos, il s’est permis là un dérapage vers l’objet lumineux, mêlant «low tech/high tech» et divertissement. L’installation faisant clairement référence au jeu vidéo mythique «Space Invaders» sorti en 1978 sur borne Arcade, c’est un clin d’oeil à une époque ou le « low tech » était notre quotidien, et ou la sensibilisation aux économies d’énergies commençait à pointer le bout de son nez.
La sucess story de son créateur Tomohiro Nishikado est la première dans le domaine puisqu’il a rapporté 500 millions de dollars depuis sa parution et a même provoqué une pénurie de pièces de 100 yens peu après sa sortie au Japon.
Les éco-envahisseurs se déplacent à flan de colline et, petit à petit, de plus en plus vite, prennent possession de celle ci jusqu’à l’envahir d’une manière sympathique et divertissante tout en étonnant le spectateur par le rythme changeant de leur progression jusqu’a finir par un « game over »...pour mieux repartir..
They’re green, they’re angry, they’re happy, they’re from the 80s and the whole city is their playground. They are the Green Invaders.
Inspired by the iconic Tomohiro Nishikado video game, Green Invaders immerses viewers in a light experience where low technology and high technology get mixed together, for an emotional and entertaining reconnection to the beginning of the technological era.
Presented for the first time at Lyon fête des lumières, Green Invaders reconciles Yves Caizergues' interest in video games and his expertise in lighting design through the creation of an army of fluorescent green creatures that will invade Toronto's downtown core. Offering the viewers the possibility to reconnect, in an entertaining way, to a time where the low-tech technology was part of our lives and the practice of saving energy had yet to be thought of.
